1.
Qu'est-ce que la maladie de Parkinson?
2.
Quels sont les symptômes de la maladie de Parkinson?
3.
Quelle est la principale cause de la maladie de Parkinson ?
4.
Quel est le neurotransmetteur impliqué dans la maladie de Parkinson ?
5.
La « maladie du mouvement » se caractérise par une triade, trois principaux signes moteurs, quels sont-ils ?
6.
Quel spécialiste est considéré comme spécialiste de cette maladie ?
7.
À quel âge la maladie de Parkinson se manifeste-t-elle généralement ?
8.
Combien de personnes en Suisse sont touchées par cette maladie ?
9.
Quel est le traitement le plus courant de la maladie de Parkinson ?
10.
À quoi sert ce traitement ?
11.
À ce jour, existe-t-il un remède pour cette maladie ?
12.
La maladie de Parkinson est-elle associée à un risque accru de démence ?
13.
Est-ce que les symptômes non-moteurs apparaissent soudainement ou avec le temps ?
14.
Comment s’appelle la démence qui se produit chez les patients atteints de la maladie de Parkinson ?
15.
Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson nécessitent une prise en charge multidisciplinaire. Cela implique un éventail de professionnels qui offrent des services médicaux, des conseils et des traitement individualisés. Quelles sont ces professions ?
Neurologue, gérontologue, nutritionniste, physiothérapeute, orthophoniste
Ostéopathe, chiropraticien, hypnothérapeute, kinésithérapeute, psychomotricien
Podiatre, acupuncteur, diététicien, psychiatre, sophrologue
Aucun
16.
En tant qu’ASE, qu’elle est la procédure professionnelle à adopter pour accompagner une personne atteinte de la maladie de Parkinson ?
Établir une routine claire et prévisible. Utiliser des supports visuels : tels que les images, les pictogrammes ou les tableaux de communication. Utiliser des supports de communication non-verbale, tels que les gestes ou les expressions faciales. Créer un environnement adapté avec des stimuli sensoriels appropriés et une organisation spatiale adaptée. Utiliser des méthodes d'enseignement adaptées et spécifiques, telles que l'enseignement structuré. Favoriser l'inclusion sociale en lui proposant des activités et des rencontres avec d'autres personnes. Créer un environnement adapté à ses besoins, avec des stimuli sensoriels appropriés et une organisation spatiale adaptée.
Stimuler l'autonomie de mouvement. Permettre à ces personnes d'avoir une vie sociale. Veiller que la personne accompagnée se sente en sécurité. Appliquer des principes de base de mobilité et d'ergonomie dans les soins et l'accompagnement au quotidien. Associer dans des exercices de stimulation des actes médico-délégués à des éléments d'accompagnement et de soutien. Aider ces personnes à améliorer leur qualité de vie et à leur permettre de mener une vie aussi productive et active que possible. Proposer des activités physiques douces afin d’aider à améliorer la mobilité et la force musculaire, à maintenir la flexibilité.
Fournir des informations précises et honnêtes à la personne et à sa famille sur la maladie, son évolution et ses symptômes afin de réduire les inquiétudes et les craintes. Travailler en étroite collaboration avec les membres de l'équipe de soins de santé pour assurer une gestion adéquate des symptômes, tels que la douleur, la confusion et les troubles du sommeil. Encourager les activités qui stimulent l'esprit, comme la lecture, les jeux de mémoire et les conversations, pour maintenir le niveau de fonctionnement cognitif de la personne. Créer un environnement calme et sécurisé pour minimiser l'anxiété et l'agitation de la personne.
Aucun